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7 novembre 2011 1 07 /11 /novembre /2011 21:26

yours-truly.jpgHier, en contemplant ma collection de CD, cherchant désespérément ce que je pouvais bien avoir envie d'écouter, je suis tombée sur "Employment" (2005), le premier album de Kaiser Chief. J'ai alors repensé à la première chanson, qui me faisait tant sourire à l'époque "Everyday I love you less and less" dont les paroles sont vraiment impayables, et prise de nostalgie, je me suis passé le CD une première fois, puis une deuxième fois et j'ai regretté d'avoir ainsi remisé l'album que je trouvais un peu trop Britpop à mon goût. Enfin au moment de son achat, je le trouvais très bien et l'ai écouté en boucle, mais au bout d'un moment, je l'ai délaissé et quand deux ans plus tard, j'ai par principe, acheté leur second album "Yours Truly, Angry Mob" (2007), je l'ai a peine écouté. Et bien le mal est réparé depuis hier je l'écoute en boucle. Je le trouve même mieux que le premier. C'est de la bonne britpop entrainante, du niveau d'un bon Blur (je dirais même encore mieux, mais cela fait plusieurs années que je n'ai écouté Blur alors je préfère ne pas trop m'avancer). Alors ce n'est pas forcément mon style de prédilection, mais parfois ça fait du bien. Leur troisième album "Off with their Heads" (2008) sorti un an après celui ci est par contre une grosse déception.

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6 novembre 2011 7 06 /11 /novembre /2011 14:58

bien chez soiJe ne sais qu'en dire tellement c'est bien. Rien de grandiose, pas d'histoires, juste de petites scénettes, majoritairement sans texte, dépeignant la vie de tous les jours, avec acuité, humour et ironie. Cela me confirme si besoin était que Quino est une valeur sûre. Il y a quelques années, on m'avait déjà offert l'intégral de Mafalda, que j'avais dévoré en un week end tant c'était bien et je n'avais plus rien lu de Quino dont les autres travaux me semblent méconnus en France. Du coup, en tombant par hasard sur ce livre en occasion, je me suis dit que Mafalda m'ayant tellement plu, je pouvais investir sans risque et grand bien m'en a pris. Je me demande même si je ne vais pas aller faire un tour sur amazon pour voir si je peux me procurer d'autres livres.

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3 novembre 2011 4 03 /11 /novembre /2011 00:32

JanesNOTHINGAprès avoir découvert ce groupe de rock califonien avec son second album Ritual de lo Habitual sorti en 1990 et ayant remporté un grand succès à l'époque, je me suis intéressée à la genèse du groupe avec son premier album Nothing's Shockingsorti en 1988. Et bien je n'ai pas grand chose a en dire, je le trouve dans la veine du second (ou plutôt le second doit être dans la veine de celui là) et aussi bon. Les deux forment un ensemble cohérent et pas mal du tout, je ne saurais choisir clui qui me plait le plus.

 

Après ces deux albums, le groupe s'est séparé, pour se reformer en 2003, avec un troisième album, que je n'ai pas très envie de découvrir car après une telle rupture, j'ai du mal à imaginer qu'il ait grand chose à voir avec les deux premiers.

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1 novembre 2011 2 01 /11 /novembre /2011 19:48

lost girls new cover red lgBande dessinée lue en diagonale chez un copain alors l'idée que je m'en suis faite est peut être mauvaise, mais ce fut une petite déception. J'avais vu une émission lorsque l'intégral était sorti en français il y a quelques années et le concept m'avait bien plu, mais apparemment la réalisation me plaît beaucoup moins.

 

L'idée d'Alan Moore (au scénario) et de sa femme (au dessin) était de faire se rencontrer, à l'aube de la première guerre mondiale, Wendy (de Peter Pan), Alice (du pays des merveilles) et Dorothée (du magicien d'Oz), dans un hôtel suisse huppé. Alice est maintenant une vielle femme, friande de jeunes filles à débaucher, Dorothée qui doit avoir une vingtaine d'année cherche justement à se faire débaucher et Wendy qui doit en avoir une trentaine est mariée à un homme beaucoup plus âgé avec lequel elle ne s'éclate pas. Tout en s'adonnant à moult jeux érotiques entre elles, mais aussi avec le personnel et les clients de l'hôtel, les trois femmes vont se raconter leur vie (sexuelle bien entendu). Sont donc reprises et déformées les histoire pour enfant que nous connaissons, pour en faire des histoires où viol, inceste et pédophilie se côtoient. Et c'est justement ce qui me déplaît un peu.

 

Je trouve intéressant de faire se rencontrer ces trois femmes d'age différent, dans un contexte historique bien établi et inclu dans le récit (par exemple l'assassinat de Franz Ferdinand) et de pervertir leurs histoires (du moins par rapport à celle que nous connaissions enfant). Ce que j'ai moins apprécié c'était justement la façon dont ont été détournées ces histoires. Il aurait à mon avis fallu soit fair un livre vraiment noir avec le graphisme correspondant racontant des trucs horribles, ou il aurait fallu faire quelque chose de lubrique mais moins dérangeant et violent. Ce qui me dérange, c'est le décalage entre les orgies vécues au moment du réci, qui sont dignes d'un film érotique normal et celles des histoires raontées, qui sont elles perverses. Le but des auteurs m'échappe donc et ça me perturbe, je ne sais pas si ils veulent faire une bande dessinée érotique, excitante pour certains lecteurs ou un roman noir avec des déviances sexuelles (viol, inceste ...).

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26 octobre 2011 3 26 /10 /octobre /2011 00:22

Venant de vendre mon ampli casque little dot I+ que j'avais depuis plus d'un an, je pense qu'il est temps d'en parler brièvement avant que je ne l'oublie. Il s'agit d'un amplificateur hybride (tubes et AOP) que j'ai acheté sur audiophonics.fr pour 115 euros, ayant choisi la version "un peu amélioré" avec des tubes EF92 (les deux autres versions sont à 99 euros et à 139 euros). J'ai pris cet ampli pour le coupler à mon Grado SR80i, avec un V-Dac musical fidelity en amont.

 

little dot

 

Mon compte rendu sera court car j'ai assez peu utilisé l'ampli et n'ai rien fait pour l'améliorer. Il est en effet possible de changer et les tubes et les AOP pour changer la sonorité de sortie à son aise. J'ai cependant préféré attendre avant de me lancer dans une quête incertaine de mieux identifier mes goûts et le sens dans lequel je souhaitais changer la sonorité de mon ensemble audio.

 

Cet ampli est idéal pour les casques de faible impédance, ce qui correspond tout à fait aux Grado qui ont tous une impédance de 32 Ohm. En revanche, même si des jumpers sont prévus pour changer les gains, je pense que cet ampli est à déconseiller pour des casques de forte impédance.

 

J'ai donc assez peu utilisé mon ampli, mais je l'ai trouvé plutôt bon avec mon Grado, pas assez cependant pour en justifier l'achat. Je n'ai en effet pas vu de valeur ajoutée par rapport  à mon ampli intégré Marantz, les tubes ajoutant peut être un peu de chaleur au son un peu agressif du Grado, mais moi je l'aime comme ça mon petit casque.

 

J'ai par contre trouvé assez catastrophique l'association du Little Dot et des casques Beyerdynamic DT880 pro et DT990pro. Je ne sais si c'est à cause de leur impédance de 250 Ohm ou si le résultat aurait pu être amélioré par d'autres tubes ou AOP, mais ça m'a décidée à chercher un autre ampli casque plus polyvalent.

 

Conclusion: 

Je ne suis pas sûre que cet ampli soit un bon investissement à l'heure où audio-GD propose (trouvable sur audiophonics.fr) son combo DAC+ ampli casque NFB-12 à 200 euros. Je pense que de manière générale, il est inutile de chercher à investir dans un ampli à tube bas de gamme et mieux vaut préférer les transistors ou attendre d'éconnomiser un peu pour se payer un ampli tube digne de ce nom.

Il faut aussi savoir que si vous tenez à du Little Dot, pour les casques de forte impédance, il faut préférer le MKII au I+.

Cependant, pour ceux qui ont déjà un DAC et viennent d'investir dans un Grado qu'ils jugent trop agressif mais aiment bien quand même, le LDI+ leur permettra de profiter pleinement de leur casque.

 

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24 octobre 2011 1 24 /10 /octobre /2011 20:44

Surfing with the Alien Joe SatrianiJe connaissais Satriani ("Satch") de nom, mais n'étant pas spécialement amatrice de rock instrumental, je ne m'étais jamais intéressée de près à sa musique. L'erreur est maintenant réparée, après avoir écouté cet album chez un copain, je me suis précipitée pour l'acheter, il est vraiment génial et me donne envie de découvrir le reste de la discographie du grand "Satch".

 

Il s'agit de son deuxième album, sorti en 1987 et qui restera celui qui l'a fait connaitre et le seul de lui que beaucoup possèdent. Il est très éclectique ent terme de rythme et demusicalité et démontre une "grande maîtrise de la part du maître".

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23 octobre 2011 7 23 /10 /octobre /2011 23:15

american pastoralCe livre me réconcilie un peu avec Roth. Il y a environ cinq ou six ans, j'ai lu "The plot against America" (2004) et j'ai adoré. Dans ce livre, Philip Roth réinvente son enfance à Newark en imaginant que Lindberg soit devenu président à la place de Roosvelt. Il présente donc une amérique où s'insinue progressivement unvantisémitisme profond et où en tant qu'enfant juif il grandi sans comprendre le rejet dont il est victime. Bien sûr, pour nous en Europe ce livre représente une réalité que nous avons vécue, mais il est intéressant de voir un Américain imaginer cela sur son territoire et la façon qu'a Roth de réécrire l'histoire me semble vraiment pertinante, et absolument pas caricaturale.

 

Ayant donc adoré "The plot against America", je me suis donc jetée avec délectation sur un second roman du même auteur: "The human stain" (2000) et ce fût une amère déception. Je me souviens assez peu de l'histoire, mais plutôt du sentiment de m'être faite avoir, m'attendant à un livre aussi bon que le précédent. D'après ce qui me souviens, c'est l'histoire d'un professeur afro-américain très clair de peau, ce qui lui a permeis toute sa vie de se faire passer pour juif afin de s'ouvrir certaines portes dans l'Amérique d'après guerre, et un jour il est accusé de racisme par des étudiants noirs, mais je ne me souviens pas de la suite.

 

"American Pastoral" est donc ma troisième rencontre avec Philip Roth et étant restée sur une note amère, j'ai été agréablement surprise. Bon ce livre est très loin d'égaler le souvenir (attendri) que j'ai du "The plot against America", mais il est agréable à lire. Je trouve que la "psychologie", la "personnalité" de certains de ses personnages n'est pas toujours des plus crédibles, mais bon l'histoire est plutôt prenante et dresse le portrait d'une famille américaine à qui tout souriait mais à qui finalement tout échappe sans raison apparente.

 

 

L'écrivain Nathan Zuckerman est un jour contacté par Seymour « Swede » Levov, la star du lycée quarante ans au paravant, qui cherche soit disant à écrire sur son père mort depuis peu. Au cours du repas, Seymour ne parle cependant pas de son père et se contente de faire l'apologie de ses trois merveilleux fils et de sa vie parfaite. Nathan déçu en conclut un peu vite que décidément, the Swede avait été épargné par la vie et il le perçoit un peu comme un imbécile heureux à qui tout a toujours souri et qui ne s'est donc jamais torturé avec des questions existentielles.

 

Deux mois plus tard, il rencontre à une réunion d'anciens élèves Jerry Levov, le frère cadet de Seymour, qui lui apprend que son frère vient de mourir d'un cancer de la prostate et Nathan réalise que son idole de jeunese n'avait pas eu une vie si parfaite que cela. En effet, Jerry lui apprend que la première fille de son frère, dont Seymour n'avait jamais parlé au dîner, était une terroriste anti guerre, qui en 1968 avait fait exploser la poste de son village et le médecin qui s'y trouvait à ce moment là. C'est à partir de là que la vie parfaite du Swede à volé en éclat, c'est à ce moment qu'il a réalisé que la vie n'avait pas de sens, à partir de ce moement qu'il a cessé d'être un bien heureux pour passer du côté des torturés. Nathan réalise que son dîner avec Seymour n'avait pas pour but de parler du père, mais putôt de la fille, de cette blessure toujours vive. Seymour se sachant mourant voulait raconter son histoire à l'écrivain, mais une fois en face de lui, il n'a pas osé se dévoiler, il a caché sa maladie et sa souffrance.

 

Nathan dépité de s'être fait avoir par l'apparente sérénité du Suedois décide alors de se plonger dans l'histoire de cet homme dont la vie a basculé aussi soudainement., et faute d'avoir pû de son vivant  écouter ses états d'âme, mène l'enquête après sa mort.

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16 octobre 2011 7 16 /10 /octobre /2011 23:56

The_Closer.jpgCe week end pour moi ce fût le 2ème tour de la primaire socialiste et les dix premiers épisodes de la 7ème saison de the Closer. Je ne saurais dire si cette dernière saison est meilleure ou moins bonne que les autres, mais cela reste dans la même veine et j'ai passé un bon moement. C'est loin d'être ma série préférée, mais elle reste constante, contrairement à Weeds ou House ou How I Met Your Mother... dont les premières saisons m'ont vraiment plû, mais qui ont fini par me lasser.

 

Cette 7ème saison, la dernière de la série est un peu spéciale dans sa programmation. En effet, les dix premiers épisodes ont déjà été diffusés cet été, tandis que cinq de plus le seront cet hiver et finalement, les six derniers devraient l'être l'été prochain. Je ne sais cependant pas si ces six derniers épisodes seront avec Kyra Sedwick qui veut quitter la série, ou avec seulement Mary McDonnel (Capitaine Sharon Raydor) qui doit prendre la relève avec un spin- off appelé "Major Crimes".

 

The Closer suit les enquêtes de la Priority Homicide Division, menée par la deputy chief Brenda Leigh Johnson. Les histoires ne sont pas crédibles et rarement passionnantes, mais ce sont les personnages qui font tout l'intérêt de la série, à commencer par Brenda Leigh, complètement névrosée, accroc au sucre, inséparable de son "purse"sans lequel elle n'est rien. Ils sont tous caricaturaux mais tellement amusants, voir même attachants pour certains, qu'ils font tout le charme de la série.

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16 octobre 2011 7 16 /10 /octobre /2011 12:09

casque-marshall-majorJ'ai ce casque depuis déjà un bon petit bout de temps (sept mois) et je suis mitigée à son égard. J'ai mis du temps à choisir un casque nomade car aucun ne rempli mon cahier des charges. Si on est prêt à investir plus de 150 euros, le Sennheiser HD 25 peut être un bon choix, associant une excellente isolation et un son déttaillé, mais il n'est  cependant pas neutre au niveau du son, a une scène sonore assez réduite et serre pas mal la tête.

 

Ne voulant pas investir plus de 100 euros dans un casque nomade dont la durée de vie risquait d'après mon expérience d'être assez courte, je me suis intéressée au AKG k 450, dont je voyais partout d'excellentes critiques, et dont le câble détachable me plaisait bien. Ce n'est pas un casque avec lequel j'ai accroché, car je lai trouvé trop basseux pour mes goûts. Ce n'est pas un mauvais casque et pour un basshead, il vaut certainement mieux le préférer au Beats trois fois plus cher, mais pour écoute du rock, du jazz ou du classique, ce n'est pas le casque idéal. Je me suis donc acheté un Sennheiser HD 448, neutre, détaillé, facilement drivable par un ipod, circum-aural donc assez confortable et d'une isolation correcte, c'est vraiment un casque intéressant. Ses limites sont d'une part sa taille et le fait qu'il ne se plie pas, d'autre part son manque de tenue pour ma petite tête, et finalement son câble non détachable qui m'a paru un peu fragile pour du nomade (mais comme finalement je l'ai utilisé en sédentaire, je n'ai eu aucun problème avec). Le HD 448 m'a donc séduite, mais a tout de suite été abandonné pour mon usage nomade.

 

Finalement, après avoir testé tous les casques disponibles à la fnac, avoir regardé les différents avis sur internet, j'ai du accepter que le casque nomade idéal à moins de 100 euros était une utopie. Un peu désespérée par mes recherches, quand je suis tombée sur le Marshall, marque pour moi associée au rock 60's et 70's, je me suis lancée, sans même l'avoir essayé au préalable. Et bien plusieurs mois après, même si je n'en suis pas parfaitement satisfaite, je l'ai toujours. Pour une utilisation nomade, il est vraiment intéressant. Tout d'abord, esthétiquement il n'est pas vilain (je suis une fille, ça compte), ensuite il est solide et même si je déplore le câble non détachable, avec sa partie en spirale, son renforcement au niveau de la prise jack, il semble avoir une durée de vie assez longue. En l'utilisant au moins trois - quatre heures par jour depuis sept mois, je n'ai jamais eu l'ombre d'un problème, alors que mes casques nomades précédents avaient des durées de vie de trois mois (et même moins pour les écouteurs). Le reste du casque est très solide aussi et bien fini, sans oublier très confortable. Bon le casque sert un peu, ce qui permet d'avoir une bonne isolation par rapport aux bruits extérieurs, mais en contrepartie il faut attendre qu'il "se fasse". Pendant les deux premières semaines il me faisait un peu mal aux cartilages après une utilisation prolongée, mais maintenant c'est un plaisir de le porter.

 

Donc ce casque est joli, isole bien des bruits extérieurs, est confortable, solide avec un câble très résistant (même si non détachable). Il rempli donc assez bien mon cahier des charges pour un casque nomade. Au niveau du son maintenant, il est un peu décevant. Pas mauvais et pour mon utilisation nomade (rue parisiennes bruyantes, métro ...) cela me suffit, mais dans un environnement calme ses défauts se font sentir. Sur du rock, sa musique de prédilection, il passe, sur du métal un peu exigeant, il commence à avoir un peu de mal, et avec une oeuvre classique orchestrale c'est un massacre. J'exagère, mais ce n'est vraiment pas un casque pour les amateurs de classique, le son paraît un peu voilé et avec une symphonie, les instruments sont très mal définis et se mélangent tous. Pour du rock, sans trop d'instruments, il convient bien, en particulier pour son punch et son dynamisme.

 

 

Conclusion:

Pour un bon casque nomade, il faut investir. Si comme moi, on rechigne un peu à dépasser les 100 euros pour un casque dont la vie risque d'être écourtée par son utilisation et dont les qualités sonores ne seront pas appréciées à leur juste valeur en raison de l'environnement, je pense que pour peu que l'on écoute principalement du rock, le Marshall Major que l'on trouve maintenant neuf autour de 80 euros est un bon choix. Joli, léger, discret, isolant, solide et confortable il convient très bien à une utilsation nomade et le son, sans être boulversant n'est pas mauvais et a une bonne dynamique. Pour les amateurs de classique, en revanche je déconseille fortement ce casque, tout comme aux amateurs de hip hop et de musique nécessitant des basses car ce casque est plus axé sur le milieu et le haut du spectre. our finir, je le déconseille également pour une utilisation sédentaire car il est possible de trouver mieux pour presque le même prix.

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15 octobre 2011 6 15 /10 /octobre /2011 11:56

almost-famous.jpgFilm distrayant mais sans plus. En fait, j'ai été un peu déçue au fur et à mesure du film car je trouvais le début assez barré, avec des personnages hauts en couleurs, mais au bout d'un moment, on retombe sur une histoire américaine classique et prévisible avec à la fin, tout est bien qui fini bien. Bon, ce film n'ayant pas pour ambition de révolutionner l'histoire du cinéma ce n'est pas surprenant, il s'agit simplement d'une comédie qui sort un peu de l'ordinaire, mais je trouve qu'en tombant dans certains clichés, il passe à côté de son potentiel.

 

 

Lorsqu'il est enfant, William Miller voit sa soeur tout juste majeure quitter la maison maternelle où elle se sent étouffée, en lui laissant toute sa collection de vinyle, pour lui permettre de s'évader. Naît ainsi la passion de William pour le rock. Quelques années plus tard, alors qu'il a quinze ans, le dit William décide de devenir journaliste à Rolling Stone magazine, et par en tournée avec le groupe Stillwater. Il se fait vite adopter par le groupe et les "Band-Aids" (des groupies rejetant l'appellation), en particulier la fascinante Penny Lane, la maîtresse du guitariste, dont il tombe amoureux.

 

 

Bon, pour un film sur un groupe de rock, ça manque un peu de drogue et de sexe, même si William va perdre sa virginité avec trois "Band-Aids", mais au moins il y a du rock et quand même quelques excès.

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