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18 juillet 2011 1 18 /07 /juillet /2011 23:37

The Killing 2011 IntertitleBon alors voilà, pour le 14 juillet j'ai visionné la première saison de "The Killing". Avis mitigé.

 

Il s'agit d'une série américaine (de toute façon je ne regarde que cela), adaptation d'une série danoise. L'histoire se passe à Seattle (il pleut à chaque épisode), où une lycéenne est retrouvée assassinée. Nous suivons en parallèle l'enquête de la police, le deuil des parents et la campagne d'un politicien, chaque épisode couvrant une journée suivant les meurtre.

 

La série se regarde facilement, je ne me suis pas ennuyée et j'aime son côté "non glamour" (il pleut, les acteurs ont l'air de gens ordinaires) et le fait que tout ne soit pas trop prévisible (j'ai été surprise quelques fois). J'aime moins certaines grosses ficelles parfois et un manque de réalisme. En outre, malgré les quelques surprises, beaucoup de moments bateaux et certains rebondissements n'en sont pas et ne servent à rien. Le jeu des acteurs n'est pas trop mal, sauf pour l'héroïne (la policière responsable de l'enquête qui est le personnage principal) sur laquelle je suis partagée. J'aime son côté (vraiment) anti pin up et le fait que pour une fois, dans une série du style on n'ai pas une falote histoire d'amour sous jacente entre l'héroïne et la gars qui l'aide, mais le jeu ne me paraît pas naturel, sur-joué. Et puis les pauses d'une minute où elle réfléchit et a une illumination m'ont horripilée. Le deuil de la famille était en revanche très bien interprèté je trouve et le milieu politique qui est au début trop caricatural (les bons et les méchants) devient plus crédible à mesure des épisodes.

 

Donc la série se regarde sans problème, et j'attends (sans impatience) la saison 2, mais je suis loin d'avoir eu une révélation. Je trouve qu'elle a un petit côté "Damage", mais qu'elle est très loin d'égaler cette série (enfin la première saison surtout). Autre petite comparaison entre les deux, dans Damage, à la fin de chaque saison, on a le fin mot de l'histoire (c'est d'ailleurs pour cela que la 2ème saison ne vaut pas la 1ère), ici cela fini sur un "rebondissement".

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12 juillet 2011 2 12 /07 /juillet /2011 02:05

affiche-1-medium.jpgLe film m'a paru moins bien que dans mes souvenirs. C'est un bon film (c'est du Kubrick), mais quand je l'avais vu à sa sortie (j'étais ado), il m'avait semblé révolutionnaire. Maintenant, je dirais seulement que c'est un bon film. En fait, je le trouve assez inégal, certaines scènes paraissent très naturelles et me plaisent vraiment, d'autres sont plutôt ridicules (les rituels interminables de la société secrète). Et puis je n'aime pas l'image de femme objet renvoyée par ce film, avec une société secrète où les femmes se baladent nues, au milieu d'hommes habillés avec capes et capuches.

 

 

Après une réflexion sexiste que le docteur Bill Hartford fait à sa femme sur les pulsions masculines, celle ci pour le provoquer lui avoue que l'été précédent, elle avait été prise d'une pulsion incroyable envers un officier croisé dans l'hotel où ils résidaient et qu'il aurait suffit d'un rien pour qu'elle bascule. La conversation est interrompue par l'appel d'un patient et Bill part en ruminant les images de sa femme faisant l'amour à un autre autre homme. Il va alors passer sa soirée à tout faire pour les oublier. Il accompagne tout d'abord une prositué chez elle, mais un coup de fil de sa femme l'empêche de concrètiser la transaction. Il ère alors dans les rue et tombe sur un bar dans lequel un de ses amis de fac joue du piano. Celui ci lui parle d'une soirée un peu particulière dans laquelle il doit jouer du piano plus tard dans la nuit. Bill se procure un costume pour entrer dans cette soirée (où tout le monde est masqué et où les hommes ont une cape avec capuche) et tombe sur une orgie organisée par une société secrète aux rites mystérieux. Bien sûr, il se fait vite repérer comme étant un intru et le chef de l'organisation commence à le menacer. Une femme masquée surgit alors en demandant à être sacrifiée à la place de Bill qui rentre alors che lui, sans bien comprendre ce qui venait de se passer.

 

Le lendemain, alors qu'il essaye de retrouver son ami pianiste en passant à son hôtel, il apprend que celui ci est parti précipitamment, le visage tuméfié et escorté par deux individus patibulaires. Bill retourne alors à la maison où avait eu lieu l'orgie et où un mot menaçant, adressé à son nom, l'attendait. Plus tard dans la soirée, alors qu'il se rend compte qu'il est suivi, il se réfugie dans un café et ouvre un journal dans lequel il tombe sur l'avis de décès d'une femme qu'il croit être celle qui l'a sauvé la veille. Il commence donc à devenir vraiment parano, mais à ce moment un de ses patients l'appel et lui apprend qu'il était à la soirée de la veille et que la société n'est en fait pas dangereuses mais que ses membres voulaient juste ui faire peur pour s'asurer de son silence, la mort de la jeune fille (prostitué droguée) n'étant qu'une coincidence.

 

Rentré chez lui Bill avoue tout à sa femme et ils vont faire les courses de noël avec leur fille.

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7 juillet 2011 4 07 /07 /juillet /2011 09:11

sonsJ'ai du mal à accrocher. On m'avait vendu la série comme l'équivalent des "Sopranos" sur la côte ouest, et bien je suis déçue.

 

Au premier abord, une série sur un gang de motards, ça ne me tentait pas des masses. Puis on a réussi à me convaincre d'y jeter un oeil et en effet, le côté motard ne m'a pas dérangé. J'ai même plutôt bien aimé le début de la série parce que ça sortait de l'ordinaire. Les personnages étaient un peu caricaturaux, mais je percevais ce petit côté "Sopranos" qui reste à ce jour une de mes séries préférées.

 

Mais une fois l'amusement et la curiosité des premiers épisodes passés, j'ai commencé à trouver cela redondant, trop caricatural et pas assez crédible. Au bout d'un moment, toutes les bagarres finissent par se ressembler, les personnages qui devraient gagner en profondeur avec leb temps sont de plus des caricatures d'eux même, ça devient lassant. "Tig" est le seul personnage qui à mon avis s'améliore avec le temps.

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4 juillet 2011 1 04 /07 /juillet /2011 22:46

hd-448.jpgBon casque pour une utilisation sédentaire. Ce n'est pas un grand casque d'audiophile, mais comme casque sédentaire fermé il n'y a pas mieux pour son prix. Il est neutre, détaillé et étant circum-aural (il englobe les oreilles) il isole pas trop mal et est assez confortable. Le cordon est unilatéral (moins de risque) et doit faire 1m40, mais il est vendu avec une rallonge d'1m60, ce qui est bien pratique pour adapter la longueur du câble à l'utilisation. Il est également fourni avec un adaptateur jack 6.5 et une housse qui est plus anecdotique qu'autre chose étant donné que c'est un simple bout de tissu.

 

Malgré tous ces avantages, je viens de vendre ce casque pour lequel je n'ai pas trouvé d'utilité. En effet, pour mon usage sédentaire, je préfère un casque ouvert car au niveau spatialisation, le HD 448 ce n'est pas ça, et pour mon usage nomade, je préfère un casque plus discret et isolant.

 

Encore une fois, pour un casque sédentaire fermé polyvalent (films, jeux, musique ...) il est idéal et tient juste peut être un peu chaud l'été, mais pas plus qu'un autre casque du genre. Pour un usage sédentaire plus "mélomane", je pense qu'il faut si possible lui préférer un casque ouvert. Pour un usage nomade en revanche, je le déconseille. Il ne serre pas suffisamment la tête pour tenir fermement et isoler au mieux, il est gros et ne se plie pas, je ne suis pas sûre que son câble résiste à un usage nomade intensif et un ipod manque peut être un peu de puissance pour le driver correctement. Après si l"usage est semi-nomade et ne consiste pas en 3h quotidiennes de transports en commun et le reste de la journée dans le sac, il doit encore faire l'affaire.

 

Au niveau signature sonore, c'est vraiment un casque très neutre et les amateurs de basses risquent d'être déçus. Pour les autres, il convient aussi bien pour du rock ou du métal que du jazz ou du classique. N'écoutant ni rap, ni électro, ni hip hop, je ne sais ce que cela donne, mais j'imagine que le manque de basses peut gêner.

 

Conclusion:

Ce casque peut donc s'avérer bon pour un environnement de travail assez calme, dans lequel on ne veut pas déranger ses collègues ou pour un étudiant en cité U qui n'a pas encore de quoi investir dans un meilleur système audio. Pour chez soi, je pense qu'il faut lui préférer un casque ouvert et pour le métro un casque plus discret et tenant mieux sur la tête.

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1 juillet 2011 5 01 /07 /juillet /2011 07:34

acid testLe livre raconte l'histoire des Merry Prankster qui sillonnent les Etats -Unis dans un bus recouvert de dayglow, tout en se défonçant à l'acide. Ils sont menés par le célèbre Ken Kesey (One Flew Over the Cuckoo's Nest), charismatique leader qui veut leur faire vivre une expérience de dépassement de soi, à travers drogue et méditation, et qui tente d'établir une société sans ordre établi, chacun étant de vivre intensément "ce qu'il est". Au volant du bus, Neal Cassady, le grand copain de Kerouac et Ginsberg, héros de On the Road. Au final, bien sûr, la société des Pranksters n'a rien de révolutionnaire, ils adulent leur chef Kesey et ressemblent plus à de fanatiques et lobotomisés membres d'une secte qu'à des hommes libres.

 

 

Au programme défonce, trips mystiques et provocation de l'Amérique bien pensante. Le lecteur se trouve plongé au coeur d'une époque à laquelle régnait une autre philosophie qui semble un peu désuète aujourd'hui. Mais c'est justement ce qui est intéressant, j'aime beaucoup de manière générale les 50's, 60's et 70's qui sont des décénies de libération des pensées et des moeurs, de découvertes, de lutte contre le conservatisme.

 

Ce livre ne m'a pas déplu car je suis toujours intéressée par ce qui touche à la beat generation ou aux hippies qui ont suivi, mais il n'apporte pas grand chose au niveau littéraire. Ce n'était d'ailleurs pas son but, Tom Wolfe, journaliste à l'époque, y relate juste de manière plus ou moins objective les événements auxquels il a assisté en suivant la petite bande. Il est intéressant, mais rien à voir avec un Kerouac, qui par exemple dans "The Dharma Bums" raconte un peu le même genre d'expérience, mais de l'intérieur. Wolfe décrit ce qu'il voit, Kerouac ce qu'il pense, ce qu'il ressent.. En lisant le premier, les beatniks nous semblent une bande de camés abrutis, en lisant le second, ils nous semblent des philosophes cherchant à bâtir une nouvelle société, une alternative plus "roots", rejetant la consommation et la morale et se basant sur la nature, le sexe et la drogue. Avec Kerouac, qui décrit la philosophie se cachant derrière un tel mode de vie, je me prend à rêver à une autre société et je veux partir vivre toute nue dans une cabane au fond des bois à écouter la nature. Avec Wolfe, je me dis qu'ils étaient vraiment à l'ouest à l'époque.

 

En conclusion, le livre est intéressant, mais trop factuel, il ne conduit à aucune réflexion et au niveau littéraire, il ne présente aucune innovation, tant sur la forme que sur le style. L'âme de l'époque est perdue, mais on découvre ce qui s'y est passé.

 

 

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27 juin 2011 1 27 /06 /juin /2011 12:09

Musical-Fidelity-V-DAC P 450Pour écouter sur ma chaîne hi-fi le To de musique présent sur mon PC, j'ai investi il y a quelques temps dans un petit Dac, le V-Dac de Musical Fidelity (MF). Au début, j'étais partie sur un DacMagic de Cambridge, mais il coûtait 300 euros, contre 200 euros pour le MF et de nombreuses reviews comparant les deux disaient qu'au niveau sonore le second était meilleur. Près de mes sous et attachant peu d'importance à l'apparence et aux fonctionnalités supplémentaires du DacMagic je me suis donc lancée dans l'achat du V-Dac.

 

Et bien, je regrette un peu mon achat. Pas en comparaison du DacMagic pour lequel on paye en effet plus l'emballage que la qualité sonore, mais en comparaison avec d'autres marques moins grand public. Bon le V-Dac étant maintenant à 150 euros, il vaut un peu plus le coup, mais pour 200 euros et même 300 à son lancement je crois, il aurait pû être mieux fini. Entre autre l'alimentation de mauvaise qualité et l'absence d'un bouton on-off me paraissent deux faiblesses majeures.

 

Donc au niveau restitution sonore, ce n'est pas un mauvais Dac (même plutôt bon pour son prix), mais sa construction et sa conception font trop cheap. A 150 euros, c'est un achat intéressant, mais il peut valoir le coup de bien se renseigner sur d'autres alternatives moins connues, avant comme moi de foncer tête baissée.

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26 juin 2011 7 26 /06 /juin /2011 16:01

MoxybargainvilleEn parlant de Moxy Früvous dans mon article sur les Barenaked Ladies, ça m'a donné envie de présenter ce groupe satirique canadien de folk-pop, dont le premier album (le seul que je connaisse à vrai dire, il faudrait que je teste les autres mais ce n'est pas un groupe très connu en France) me plaît beaucoup, tant pour les paroles que pour la musique.

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26 juin 2011 7 26 /06 /juin /2011 15:49

stuntJ'avais découvert les Barenaked Ladies avec le générique de "The Big Band Theory" et acheté leur premier album Gordon (1992) sur lequel j'avais apprécié quelques chansons (deux ou trois), mais qui dans l'ensemble ne m'avait pas tellement plus.

 

Et bien ce quatrième album est différent, je l'aime bien et je ne suis à la base pas une grande fan de rock alternatif canadien. Bon ,dans ce genre de musique, je préfère tout de même Moxy Früvous, mais Barenaked Ladies est remonté dans mon estime.

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23 juin 2011 4 23 /06 /juin /2011 04:05

Marantz-PM-5004-Noir P 700

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23 juin 2011 4 23 /06 /juin /2011 04:03

Marantz CD5004 front 1000

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