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19 janvier 2012 4 19 /01 /janvier /2012 22:57

damagesJe ne me souviens pas assez de la série que je n'ai pas regardée depuis deux ans et dont je n'ai vu que les deux premières saisons et le début de la troisième, qui n'avais pas du tellment me plaire puisque je ne suis pas arivée au bout, pour écrire un article très détaillé, mais j'avais tellement aimé la première saison que je me dois d parler de la série. Je me demande d'ailleurs si je ne vais pas regarder les troisième et quatrième saisons maintenant que j'y pense. Une cinquième saison est par ailleurs prévue pour l'été 2012.

 

Dans cette séie, ce qui me plait surtout c'est l'ambiance lourde, la façon dont l'histoire est tounée avec des aller retour dans le temps finement maîtrisés et Glenn Close. L'histoire est quant à elle parfois un caricature d'elle même tant c'est tordu et devient d'ailleurs un peu trop prévisible, puisque l'on sait d'avance que tout ce qui peut mal tourner tourne encore plus mal et que tous les personnages sont diaboliques.

 

 

Tout commence par la fin, alors qu'Ellen Parsons court dans les rues de New Yok, couverte de sang, à moitié nue et est arêtée par la police. L'histoire part ensuit six mois en arière, lorsque la même Ellen Parsons, jeune avocate new-yorkaise, fraichement sortie de l'école, est embauchée dans le plus célèbre cabinet de la ville, celui de Patty Hewes qui fait mine de la pendre sous son aile. Ainsi, la série va s'appliquer, en faisant des alle-retour dans le temps, à nous montrer comment la pauvre Ellen est tombée dans un engrenage infernal, entraînant avec elle tout son entourage.

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17 janvier 2012 2 17 /01 /janvier /2012 23:37

mike-et-molly-2-300x225.jpgCette série raconte l'histoire de Mike et Molly qui se rencontrent à une réunion des overeaters anonymous, tombent amoureux et découvrent toutes le embûches de la vie à deux.

 

C'est une sitcom avec des rires enregistrés, ce qui m'insupporte au plus haut point, et qui en plus n'a j'estime rien d'originale. Je ne la trouve pas très drôle, c'est un peu "un gars une fille" mais version sitcom, moins pertinant et avec deux obèses. Et les personnages secondaires, censés apporter le côté original à ce qui sinon ne serait qu'une ènième série sur un couple, sont trop débiles et caricaturaux pour être drôles.

 

Je ne m'attendais à vrai dire pas à grand chose de cette série, mais comme je la voyais durer, je me suis dit que j'allais essayer, surtout qu'en tant qu'ancienne inconditionnelle de Gilmore Girls, j'avais envie de retrouver le personnage de Suki, et Molly a certains côtés de Suki, mais ça reste un personnage beaucoup moins attendrissant.

 

Bref, je trouve que c'est une série ratée, comptant sur la présence de héros en surpoids pour attirer une partie de la population américaine. Et ça semble marcher puisque la série en est à sa deuxième saison.

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15 janvier 2012 7 15 /01 /janvier /2012 23:26

brain-b2.jpgLes Brainwavz B2 que j'ai depuis maintenant plus d'un mois sont ma première paire de vrais écouteurs intra-auriculaires et j'en suis rudement contente. J'avais fait deux tentative précédemment, tout d'abord à l'époque où j'ai quitté les écouteur Apple, je m'étais pris une paire de Philips à 20 euros chez Monoprix, mais ils m'ont assez vite lâchée et je n'en ai pas gardé beaucoup de souvenir. Je suis ensuite passée à un petit casque Koss et j'ai enchaîné ainsi trois casques à 20 euros avant de refaire une tentative avec une paire d'intra Sennheiser d'entrée de gamme que j'ai balancée au bout de 10 jours tant les bruits microphoniques et leur mauvaise tenue m'exaspéraient. Marcher avec dans la rue était impossible car je devais les remettre en place en permanence et j'entendais chaque pas, chaque frottement du manteau, du coup je suis vite repassée aux casques et me suis mise à doucement monter de gamme.

 

Mais les casques ont leurs inconvénients, en particulier leur encombrement et leur isolation moindre que celle des intras, et sur la durée, ils peuvent s'avérer chauds et inconfortables. Du coup, un an après mon expérience malheureuse, j'ai décidé de retenter l'expérience des intra-auriculaires avec les Brainwavz B2 dont j'avais pu lire beaucoup de bien à droite à gauche. J'ai bien fait et je pense avoir trouvé mon système d'écoute nomade pour je l'espère un bout de temps. À l'origine j'avais en fait été tentée par les Shure SE425, eux aussi pourvus de deux drivers, qui avaient pour eux un câble remplaçable, mais coutaient deux fois plus cher. J'ai finalement opté pour les B2 après avoir vu des critiques sur les câbles fragiles des Shures et avoir lu que leur technologie était maintenant dépassée dans le monde des intras, même si pour les casques ils restent à la hauteur. Enfin, ce n'est pas qu'ils fassent de mauvais intras, c'est juste que les autres font aussi bien pour bien moins cher.

 

Conclusion: Bref, je suis ravie de mes B2 au son détaillé, analytique mais pêchu qui ravira les amateur de jazz et de classique et ne laissera pas indifférent les amateurs de rock qui ne sont pas trop portés sur les basses. J'avais u quelque part que ces intras seraient un Grado SR80 version intra. Sans aller jusque là car je note tout de même des différences entre les deux signatures, je pense que tout amateur de Grado aimera ces intras, tandis qu'un fan de Sennheiser HD650 par exemple n'y trouvera pas son bonheur.

 

les avantages:

+ qualité sonore: son détaillé, analytique, mais tout de même assez pêchu (cela manquera tout de même de basses pour les amateurs de hip hop etc).

+ pas de bruits microphoniques, la câble est tellement mou que quoi qu'on fasse, aucun bruit ne se répercute dans les écouteurs.

+ l'isolation, ce n'est vraiment pas comparable avec les casques, surtout avec la paire de mousses Comply.

+ la paire de mousses Comply, confortable, isolante, rouge (je trouve cela sympa), mais avec les aigus ont tendance à être un peu écoutés et les basses plus présentes, ce que j'aime un peu moins que la signature sonore originale des B2.

+ le maintient, avec leur forme coudée, les écouteurs rentrent plus profond dans l'oreil et tiennent mieux, surtout avec les Comply.

 

les inconvénients:

- la solidité  de la prise jack qui m'inspire moyennement confiance . Bien sûr je viens d'un casque Marshall à la prise Jack indestructible, alors ce petit truc là me paraît tout fragile, mais en plus avec le câble mou, j'ai peur qu'il y ait vite un faux contacte dans les fils.(c'est ce qui m'empêche d leur donner 18/20)

- câble non remplaçable

- absence d'embout bi ou tri flanges dans le bundle constitué d'une pochette de rangement rigide, d'un adaptateur 6.5, un adaptateur avion, une paire de Comply et trois paire d'embouts silicone.

b2.jpg

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14 janvier 2012 6 14 /01 /janvier /2012 12:19

Michel_PETRUCCIANI_C_Stephane_GRAPPELLI_C_Flamingo_K1996C.jpgJe poursuit mon incursion dans le monde inconnu qu'est pour moi le jazz. Je doit bien avouer que ce n'est toujours pas un style qui m'accroche et pour moi une bonne partie des morceaux que je me forcent à découvrir se ressemblent étant presque interchangeable. Tout est une question d'éducation j'imagine, élevée au milieu de vinyles de Led Zeppelin ou des Doors de mon père, je suis capable de différencier deux groupes de rock dès les premières notes et du rock peut "m'emporter" comme le jazz en est incapable.

 

 

 

Cependant, dans ma quête d'albums faciles d'accès et pouvant me mener sur la voix du jazz, tant apprécié par les mélomanes, je tombe parfois sur des oeuvres qui retiennent mon attention de rockeuse réfractaire. Flamingo, oeuvre conjointe de Michel Petrucciani et Stephane Grappelli, en est une. Souvent insensible aux instruments à vent, j'apprécie depuis longtemps le jazz manouche, tandis que le piano reste un de mes instruments de prédilection, et justement, cet album a grâce à Grappelli une sensibilité jazz manouche, le tout agrémenté par le piano de Petrucciani, ce qui en fait pour moi une oeuvre des plus agréable à écouter.

 

 

C'est donc un album que je conseillerai au néophytes cherchant à découvrir le jazz, d'autant que Grappelli comme Petrucciani, mort respectivement en 1997 et 1999 font partie des rares légendes françaises en la matière.

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12 janvier 2012 4 12 /01 /janvier /2012 21:41

simenon-malheur.jpgAh, Simenon c'est toujours mon petit plaisir coupable. Simenon et Sagan. Ce n'est pas de la "grande littérature" et c'est toujours avec un peu de honte, mais beaucoup de délectation que je me saisie d'un de leurs livres. Sagan il ne me reste malheureusement que deux livres d'elle que je n' ai pas lu, et pas forcément les meilleurs, mais Simenon en a écrit tellement que j'en ai un stock chez moi dans lequel je pioche dès que je veux me détendre avec un livre prenant et facile à lire. Tous ses livres n'ont pas fait mon bonheur, mais dans la grande majorité des cas, je me laisse prendre au jeu assez vite et suis séduite par les personnages. Pour lui comme pour Sagan, ce sont toujours les personnages que j'apprécie, les femmes oisives et frivoles chez elle et les sombre méandre de l'âme humaine chez lui. Les héros de Simenon ne sont jamais des héros de films américain, ils sont souvent lâches, vicieux, manipulateurs, menteurs, moches ... Il n'y a ni gentils, ni méchants, mais une multitude de nuances entre ces deux extrêmes.

 

 

Lucien Gobillot, brillant avocat de quarante-cinq ans reçois un jour dans son cabinet une jeune femme lui apprenant qu'elle vient de cambrioler une bijouterie, blessant la femme du propriétaire dans sa fuite, la rendant ainsi borgne. Elle cherche donc un avocat pour la représenter et n'ayant pas d'argent, elle est prête à le rémunérer "en nature" et pour montrer le sérieux de ses intentions, elle finit l'entretient en retroussant sa jupe, invitant ainsi l'avocat à prélever une avance sur salaire. Lucien gentleman repousse temporairement ses avances en acceptant toutefois de la représenter, et malgré la culpabilité évidente de sa cliente, parvient à la faire acquitter. Il collecte alors son du en allant la retrouver e soir même de l'acquittement, avec la bénédiction de sa femme qui sûre de sa supériorité accepte avec une sorte de condescendance les aventures de son mari. Cependant, un an plus tard la jeune Yvette est toujours dans la vie du couple et Lucien, bien que lucide sur la personnalité perverse de sa maîtresse se montre très attaché à elle. Il décide donc, lorsque celle ci est harcelée par un homme désirant l'épouser, de lui acheter un appartement à deux pas de son domicile conjugal. Sa femme accepte, mais commence à s'inquiéter de cette aventure peut être plus sérieuse que prévu.

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9 janvier 2012 1 09 /01 /janvier /2012 02:24

 

community.jpg

 

Alors ce week end ce fut gavage de Community série de NBC débutée en 2009, dont la troisième saison est en cours ... ou pas. Elle n'est toujours pas revenue à l'antenne après le break de Noël et personne n'arrive à affirmer si elle va reprendre ou non. D'après ce qui m'a semblé le plus probable, elle devrait reprendre, mais un peu plus tard que les autres séries, mais ce n'est pas de bonne augure pour une quatrième saison.

 

Toujours est-il que les deux premières saisons, respectivement de 25 et 24 épisodes sont plutôt bonnes, à part certains épisodes à thème, je n'aime ni les épisodes Noël (sauf peut être celui de la saison 3), ni Halloween (surtout celui de la saison 2), ni les paintball qui finissent chaque saison, mais c'est très personnel, sinon c'est une série dans l'esprit NBC, donc type 30 rock. Je dirais même un peu mieux que celle ci, mais j'ai arrêter de la regarder au milieu de la sixème saison car je me suis lassée alors je ne me rends plus très bien compte. En tout cas, les amateur de 30 rock, The Office et autre Park and Recreation y trouveront leur compte.

 

 

Jeff Winger, avocat au diplome frauduleux se trouve contraint de retourner à l'université, mais il choisit une "community college" qui au états unis est l'université de looser, où vont tous ceux qui ne peuvent aller dans une vraie université. Suivant un cours d'espagnol (enseigné par un sociopathe, Senior Chang), il rencontre Britta (qui a abandonné le lycée pour rejoindre un groupe anarchiste et qui décide à 28 ans de reprendre les études) et pour la séduire prétexte la formation d'un groupe de travail qui dans l'esprit de Jeff devrait être composé d'eux deux seulement. Mais Britta en a parlé à Abed (fan de films et de séries qui a du mal à s'intégrer dans la réalité) qui à son tour convie d'autre élèves de la classe. Jeff se retrouve donc avec, en plus d'Abed et de Britta, Troy (athlète sortant du lycée, ayant perdu sa bourse à cause d'une blessure), Annie (ancienne camarade de classe de Troy, ayant perdu sa bourse à cause d'un addiction aux médicament), Shirley (mère de deux garçons que son mari vient de quitter pour une strip-teaseuse et qui décide de reprendre sa vie en main) et Pierce (vieux PDG raciste et homophobe). Bien malgré Jeff, un vrai groupe d'étude s'est donc formé et va se souder au fur et à mesure des épisodes aux cours desquels il vont vivre de nombreuses aventures plus ou moins farfelues.

 

 

Ce n'est pas une série pour intélectuels, mais j'apprécie l'absence de rires enregistrés et m'étant lassée de 30 rock, The Office ou How I met your Mother, je suis heureuse d'avoir trouvé Community pour complèter The Middle (celle que je préfère) et Modern Family pour les séries "pas prise de tête".

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4 janvier 2012 3 04 /01 /janvier /2012 00:52

amy-win.jpgLe journal secret d'Amy Wingate, publié en 2010 est l'oeuvre de la britannique Marcia Willet, mieux connue sous le pseudonyme de Willa Marsh, qui s'est lancée dans l'écriture vers l'âge de cinquante ans seulement et est l'auteur d'une vingtaine de romans.

 

 

Amy Wingate est une enseignante dans la cinquantaine ayant pris une retraite anticipée et s'étant retirée dans une maison en bordure de mer, léguée par son oncle. Suivant les conseil de son médecin, elle se lance dans un journal intime dans lequel elle raconte son quotidien avec cynisme et au bout d'un moment entre dans une plus grande introspection et fini par révéler son passé.

 

 

Je ne sais pas vraiment quoi penser de ce livre, il se lit sans souffrance et peux même s'avérer amusant, mais Amy est trop caricaturale et l'histoire est pourvue d'énormes ficelles que l'on voit de loin. A 17 euros le livre, je regrette un peu mon achat, mais au moins le livre était "lisable".

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29 décembre 2011 4 29 /12 /décembre /2011 03:08

 

six_pieds_sous_terre_01.jpg

 

J'ai décidé de faire une série d'articles sur mes séries préférées, qu'elles soient en cours ou non. Commençons donc par Six Feet Under dont j'ai adoré les cinq saisons, avec toutefois une préférence pour la première (et la deuxième peut être). C'est vraiment une série que j'apprécie, j'hésite même de temps en temps sur amazon à me prendre l'integrale (import anglais qui est moins cher), c'est dire car acheter une série, je n'ai jamais fait.

 

six-feet-under-tribut_ibdei_1.jpgNate Fisher rentre chez ses parents pour noël et dans l'avion fait la rencontre de Brenda qu'il va "fucker" (j'ai rarement vu une série, peut être avec les soprano, mais je ne crois même pas où le mot fuck est si souvent utilisé) dans un placard à balai de l'aéroport. Pendant ce temps, son père se rend justement à l'aéroport pour venir le chercher, et se fait percuter par un bus, mourant sur le coup en laissant en héritage à ses deux fils Nate et Dave l'entreprise familiale de pompes funèbres.

 

Nate qui au début ne voulait rien avoir à faire avec les pompes funèbres fini par accepter ses responsabilités et reste pour aider son frère, sa mère et sa soeur Claire, lycéenne rebelle qui a du mal à s'intégrer. Il en profite pour entamer une relation uivie avec Brenda.

 

Chaque épisode commence par la mort d'un personne dont l'embaumement va être confié au soin des frères Fisher, qui tout au long de l'épisode vont converser soit avec le mort, soit avec leur défun père, ce qui les mène toujours à une introspection.

 

Tout est vraiment bien pensé dans cette série, les personnages, les épisodes, les relations, les morts. Tout les monde est névrosé et craque à un moment ou un autre, j'aime vraiment beaucoup.

 

SixFeetUnder6.jpg

 

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26 décembre 2011 1 26 /12 /décembre /2011 02:11

Je me rends compte que je n'avais pas encore parlé de mon casque adoré, mon Grado SR80i que j'ai depuis plus d'un an maintenant. Ce sera rapide car il est tard et je suis fatiguée des fêtes de Nowel, mais cela doit être fait.

 

Ce casque est vraiment excellent. J'ai hésité entre les trois modèles d'entrée de gamme de la marque et après essais en magasin, c'est le SR80i qui m'a semblé présenter le meilleur rapport qualité-prix, à la fois par rapport à son petit frère le SR60i, moins bon mais pas beaucoup moins cher, et à son grand frère le SR125i, peut être un peu meilleur, mais pas suffisamment pour justifier son prix plus élevé.
sr80i


Ce casque dynamique, aux aigus précis et incisifs est idéal pour le rock et le métal, mais convient également plutôt bien à la musique classique ou au jazz. Les amateurs de musique électronique, hip hop et autre style un peu "boomy" auront par contre beaucoup plus de mal à y trouver leur compte. Ce n'est pas un casque qui manque tellement que cela de basses (il n'est pas porté sur le grave, mais ce n'est pas non plus un ATH AD700), mais il ne possède pas celles qui conviennent à ce genre de musique. En dehors de ce public, je pense que du Rock au Classique, tous les autres seront ravis par ce casque précis et détaillé. Je mettrais cependant un bémol pour le classique car je trouve que ce casque a une scène sonore un peu trop étriquée pour les grandes formations orchestrales.

 

Avec son impédance de 32 Ohm, ce casque est facile à driver, aussi bien par un lecteur mp3 qu'un ordinateur portable ou autre. Il pourra certainement profiter d'une amplification jusdicieusement choisie, mais ce n'est vraiment pas indispensable, il s'apprécie déjà très bien "au naturel".


La seule chose qui peu décevoir un peu avec le SR80i, c'est qu'à ce prix là toutes les autres marques font des casques confortables, tandis que celui ci , sans être pour autant insupportable, fait vraiment "cheap", bien qu'il soit toutefois rudement solide, avec un câble (1m90 il me semble) quasi-indestructible, et pourtant j'en ai détruit des câbles.Pour ceux pour qui le confort est important, je conseillerais plutôt de regarder chez AKG ou ATH (je n'aime pas beaucoup Sennheiser).

 

Cependant, en comparaison de deux autres casques ouverts que je connais dans cette gamme de prix, à savoir le ATH AD700 et le AKG K242, je préfère le Grado en terme de son car je le trouve plus dynamique, ce qui convient bien au rock que j'écoute. Ceux qui écoutent uniquement du classique pourraient eux envisager le AD700.

 

A noter finalement qu'il s'agit d'un casque ouvert qui fuit comme pas permis. J'ai eu d'autres casques ouverts pas très discrèts pour l'entourage, mais celui ci a la palme.

 

 

Conclusion:

Il s'agit d'un casque qui conviendra parfaitement aux amateurs de rock, mais aussi à ceux assez éclectiques qui écoutent tout autant du jazz ou du classique, bien qu'il risque de décevoir un peu les amateurs de grandes symphonies. Il est à éviter pour les adeptes de hip hop ou musique électronique.

Question solidité, c'est un achat sans risque sur la durée, question look et confort on peut mieux faire.

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21 décembre 2011 3 21 /12 /décembre /2011 15:04

stranger

 

    Strangers in Paradise est une série de comics américains réalisés et auto-produits par Terry Moore (et sa maison d'édition "Abstract Studio"), parus entre 1993 et 2007. La série, constituée au total de 106 épisodes répartis sur trois volumes, a reçu en 1996 le Will Eisner Award de la "Best Serialized Story" pour ses huit premiers épisodes. Le premier tome que j'ai lu pour l'instant regroupe les deux premiers volumes, respectivement de 3 et 13 épisodes.

 

    David aime Katchoo qui aime Francine (qui pendant un bref moment croit aimer David). J'étais donc au début assez réticente à me lancer dans la lecture de ce "soap opera en comic", comme je l'avais lu quelque part. En effet, je n'ai jamais regardé le moindre soap et je lis peu de comics. Mais fort heureusement, profitant des vacances, j'ai fini par me lancer et j'ai dévorer ce premier tome en une nuit (c'est les vacances, j'ai le droit!) et commandé les deux suivants dans la foulée.

 

 

premier épisode: Francine, jeune femme de 26 ans n'a pas de chance avec les hommes. Retenant les leçons de son passé malheureux avec la gent masculine, elle a décidé de ne pas coucher tout de suite avec Freddie Femur son petit copain depuis presque un an, qui commence de ce fait à s'impatienter et la quitte au début de l'épisode. Francine décide alors d'aller à son bureau pour s'offrir à lui et se rabibocher. Seulement voilà, alors qu'elle entre dans le bureau en arrachant ses vêtements, elle trouve Freddie en pleine action avec une autre femme. Francine perd alors la tête et finit nue dans un parc, avant de prendre le volant (toujours nue) et de projeter sa voiture contre sa maison. Pendant ce temps là, son ancienne camarade de lycée et actuelle colocataire Katchoo, une peintre bisexuelle, qui amoureuse de Francine a du mal à supporter de voir sa meilleure amie malmenée par les hommes fait dans un musée la rencontre de David, étudiant en art de 24 ans qui montre un intérêt immédiat pour la jeune femme. Celle ci, après avoir mis à l'épreuve la détermination du jeune homme finit par baisser sa garde et le laisse devenir son ami en lui expliquant bien qu'elle aimait les filles et qu'il n'avait aucune chance avec elle.

 

strangers-in-paradise.jpg

épisodes 2 et 3: la nature violente de Katchoo, qui pour venger Francine violente Freddie, allant jusqu'à lui faire croire qu'elle va le castrer, pour finalement le laisse nu dans la vitrine d'un magasin, se révèle et la jeune femme finit en prison où elle passe à tabac un gardien qui tentait d'abuser d'elle.

 

épisodes 4 à 16:  on entre enfin au coeur de l'histoire et l'on découvre que Katchoo a un temps été prostitué pour le compte d'une femme à qui elle a volé de l'argent et qui a fini par retrouver sa trace. S'ignorant surveillée, Katchoo mène sa vie entre David dont elle se rapproche, en lui racontant une partie de son passé qu'elle n'a jamais dévoilé à personne et qui en retour lui avoue ses sentiments (ce qui aboutit sur un baiser) et Francine qui sombe dans l'hyperphagie et prend du poids à vu d'oeil.

 

 

    Il est donc difficile d'identifier le public visé par la série. Il est certainement avant tout féminin car les états d'âme des deux héroïnes représentent une composante non négligeable de l'histoire. Nous sommes néanmoins loin de "Dawson Creek" et le livre poura sûrement également plaire à la gent masculine qui trouvera en Francine une héroïne sexy, féminine et voluptueuse et en Katchoo une héroïne bisexuelle et "guerrière". Ajouté à celà un réseau de prostitution, ds histoires d'argent, de la violence, du sexe... certains garçons apprécieront, tandis que les filles seront elles sensibles à l'image féminine qui ne consiste pas en des filles maigres au énooormes seins.

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