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30 mars 2015 1 30 /03 /mars /2015 21:08
Les élèves vivent dans un monde étrange où tout ce que le professeur fait, "ça s'fait pas".
  • Quand je donne une punition; "ça s'fait pas m'dame, les autres aussi ils parlent/lancent des bouts de gomme/chantonnent/mettent leur pieds sur les tables/font des bruits d'animaux/dorment/font leur DM de français/écrivent sur leur table...." Et ce, même lorsque ce n'est pas vrai.
  • Quand j'annonce un contrôle deux semaines à l'avance: "ça s'fait pas m'dame, il a contrôle d'anglais trois jours avant/c'est avant les vacances/c'est après les vacances/il y a déjà eu contrôle il y a deux mois..."
  • Le jour du contrôle annoncé deux semaines au préalable: "ça s'fait pas m'dame, on n'a rien compris, on pourrais faire des révision?/ce week end il y avait match de foot, on ne pouvait pas réviser..."
  • Quand je rends le contrôle: "ça s'fait pas m'dame, vous auriez pu arrondir mon 8,5/20 à 10/20/ j'ai mis un mot qui n'existe pas, mais ça ressemble vaguement/mon calcul est absurde mais j'ai essayé/vous devriez mettre des points de présentation..."
  • Quand je mets zéro au contrôle pour tricherie: "ça s'fait pas m'dame, je n'ai pas tout recopié sur mon voisin, cette question là je l'ai fait seul/mon cours était sous ma copie mais je ne l'ai presque pas regardé/si j'ai remis mot pour mot les définitions de wikipedia dans lesquelles je ne comprends pas la moitié des mots, ce n'est pas parce que j'étais sur mon portable lors du contrôle, mais parce que je les ai apprises par cœur. Par contre je ne peux pas vous les réciter le lendemain car j'oublie vite..."
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24 février 2015 2 24 /02 /février /2015 13:32

Hier j'entendais à la radio qu'un élève de 3ème sur cinq ne savait pas faire un exercice de maths du niveau CM2.  C'est très clairement le cas. Ajouté à cela les deux élèves sur cinq qui ne savent pas faire un exercice de niveau 6ème, et ceux ne sachant pas faire un exercice de niveau 5ème...

 

Je me retrouve avec des élèves de secondes qui ont la phobie des maths et ne savent pas faire le moindre calcul. Ainsi, sur une classe de 35, 32 élèves ont pris leur calculatrice pour faire 15x10=150.

 

Une partie de ces génis passant en 1èreS, car il faut bien y envoyer des élèves, je me retrouve à un an et demi du bac de maths avec

un jeune homme me disant qu'il ne peut faire un calcul car il a oublié sa calculatrice (ce calcul était 2/2=1),

- une brave fille persuadée que 0x1 fait 1,

- une autre qui utilise sa calculatrice pour faire 0x289 et s'étonne de trouver 0 (ce sur quoi je lui rétorque gauguenarde qu'elle ne devrait pas avoir besoin de calcultette pour une telle opération, et elle de me répondre "mais madame, on ne sait jamais, ça aurait pu donner autre chose")

- la quasi-totalité de la classe incapable de convertir des mL en L et qui continue de m'écrire sans honte 1cm=100m

......... je pourrais continuer pendant des heures, et ce sont des 1èreS, peut être de futurs polytechniciens....

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28 avril 2013 7 28 /04 /avril /2013 11:04

Le_Dernier_Roi_d_Ecosse.jpg

En 1971, Nicholas Garrigan, un jeune médecin écossais fraîchement diplômé décide de fuir la vie qui l'attend au cabinet médical paternel et s'envole pour une mission umanitaire en Uganda, où au moment de son arrivée, Idi Amin vient de prendre le pouvoir après un coup d'état. Peu de temps après son arrivée, l'arrivée sur place du jeune médecin, les deux personnages se rencontre et au lieu de vaciner des enfants, Garrigan accepte la proposition d'Amin de devenir son médecin personnel.

 

J'ai une certaine difficulté à noter ce film car d'un côté j'ai grandement apprécié le jeu de Forest Whitaker, capable, tel un dictateur fou, de passer en une fraction de seconde de la colère noire au rire, et inversement, mais d'un autre côté le personnage "principal", à savoir le jeune médecin écossais, donne envie de partir avant la fin.

En effet, j'ai rarement vu un personnage avec aussi peu de profondeur. J'aurais toléré un idéaliste bien pensant et naïf, j'aurais aimé un personnage plus complexe et torturé face à ses contradictions... Ici je ne saurais décrire ce personnage tant il ne semble pas avoir la moindre personnalité, sauf peut être celle d'un enfant de quatre ans, cédant à chacune de ses envies immédiates et étant à la fois captivé et effrayé par un papa méchant.

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12 janvier 2013 6 12 /01 /janvier /2013 11:05

 

chroniquedunemortannoncee

Le livre (assez court) est très bien résumé par son titre. En effet, nous savons des le début que Santiago Nasar doit être tué, et le roman, dont le narrateur est ami d'enfance de l'infortuné, s'attache, vingt sept ans après les faits, à reconstituer les détails de cette la funeste journée où le drame s'est produit.

 

Nous apprenons ainsi que le village entier, ou presque savait ce qui devait arriver quelques heures avant, mais entre ceux qui croyaient à une plaisanterie, ceux qui ne voulaient pas agir et ceux qui ont été empêchés d'agir... le meurtre fût commis.

 

(la suite révèle peut être certains détails de l'intrigue)

 

Le mariage d'Angela Vicario et de Bayardo San Roman avait eu lieu la veille et Santiago, après avoir fait la fête toute la nuit avait dormi une heure et s'était levé à l'aube pour aller voir un évêque de passage. Ce qu'il ignorait, c'est que pendant ce temps là, les époux étaient entrés chez eux pour consommer leur mariage, et que se rendant compte que sa femme n'était pas vierge, Bayardo l'avait reconduite chez sa mère. Après avoir battu sa fille comme il se devait, la brave femme lui demanda alors qui était responsable de l'offense. La jeune fille donna ainsi le nom de Santiago et aussitôt, deux de ses frères, les jumeaux Pablo et Pedro, partirent chercher des couteaux et se baladèrent par la ville la nuit entière, disant à qui voulait l'entendre qu'ils comptaient tuer Santiago Nasar. Presque comme si ils voulaient en être empêchés. Au cours de la nuit d'ailleurs, à plusieurs reprises, leur motivation vacilla et ils recherchèrent Santiago assez mollement.

 

Finalement, au long du livre, le narrateur s'extasie sur le fait que le crime ait eu lieu, car à chaque page se produit un évènement capable de l'empêcher, mais malgré tout, le pauvre Santiago Nasar est assassiné de multiples coups de couteaux.

 

J'ai moins aimé ce livre que 100 ans de solitude, mais Garcia Marquez a l'art de raconter les histoires. En effet, j'ai lu le livre d'une traîte, alors qu'à la base il ne semblait pas si passionnant que cela. Il nous plonge dans la culture d'un village d'Amérique latine, où les traditions, les superstitions et les croyances ont une place majeure dans la vie quotidienne et c'est dépaysant. Mon seul problème fût une certaine tendance à mélanger les noms des personnages.

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24 juin 2012 7 24 /06 /juin /2012 00:22

Après beaucoup d'hésitation et une grande méfiance après mon expérience malheureuse avec le DT 990, je me suis lancée dans l'achat d'un Beyerdynamic DT 880 prenium 250 Ohm. J'avais testé la version 32 Ohm en magasin, mais dans de très mauvaises conditions, du coup je n'étais pas très sûre de moi, mais finalement, cette fois je ne regrette pas mon choix. J'avais pas mal hésité avec le Grado SR 225 dont à l'essai j'avais apprécier la signature, mais j'ai été un peu réticente à mettre plus de 200 euros dans un casque ayant le confort du Grado quand pour le même prix des casques ayant une signature sonore intéressante présentent un nettement meilleur confort. Qui plus est, ayant mon Grado SR 80 dont je ne me débarasserai jamais tellement je l'aime, je me suis dit que quitte à investir dans un nouveau casque, autant changer un peu de signature. J'ai donc opté pour le DT 880 de Beyerdynamic, la version prenium car je n'ai pas beaucoup apprécié le câble spiralé très lourd du DT 990 pro et j'ai choisi une impédence de 250 Ohm car j'avais peur qu'une impédance de 600 Ohm soit difficile à alimenter et pour une utilisation sédentaire avec un ampli Hifi, je ne voyait l'intérêt de perdre en qualité avec la version 32 Ohm alors que mon système Hifi peut driver la verion 250 Ohm.beyer dt 880

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24 février 2012 5 24 /02 /février /2012 01:07

notre-coeur.jpgAh, Maupassant, il n'y a pas à dire, c'est vraiment un bon écrivain et certainement une de mes préférés, surtout en littérature française. Son meilleur roman restera pour moi "Bel Ami" (1885) que j'ai lu trois fois, d'une traite. J'ai par contre plus de mal avec son premier roman "Une Vie" (1883) que j'ai lu deux fois, mais dont je trouve les personnages trop caricaturaux et beaucoup de scène peu crédibles. J'ai par contre beaucoup aimé "Fort comme la mort" (1889) et "Pierre et Jean" (1888). Sur les six roman de Maupassant, j'en avait donc lu quatre, grandement apprécié deux, adoré un et moyennement aimé un autre, je me suis donc dit qu'il était temps d'en finir avec l'oeuvre romanesque de Maupassant avec "Mont-Oriol" (1887) qui est sur ma liste et "Notre Coeur" (1890), son dernier roman avant de sombrer dans la folie et de mourir trois années plus tard, que je viens de finir. Et bien je pense que c'est le plus "mauvais" des six romans (du moins des cinq que j'ai lus).

 

 

Michele d Burne est une jeune veuve de vingt-neuf ans qui évolue.  Évoluant dans les cercles mondains parisiens, elle  a à coeur de remplir son salon des gens de la meilleure compagnie, ce qu'elle parvient à faire grâce à son charme indéniable, attirant nombreux admirateurs. Traumatisée par un mariage sans amour avec un homme brutal, bien qu'aimant être courtisée, la jeune femme met un point d'honneur à rester de marbre devant les démonstrations de ses prétendants et n'a jamais cédé à aucun.

Jusqu'au jour où elle rencontre André Mariolle, nouveau venu dans son cercle, qui tombe rapidement sous son charme. Mais bien qu'elle commence par le repousser, celui-ci est différent du reste de sa cours, il n'est pas intellectuel mais seulement un riche oisif, et pourtant ses nombreuses lettres touche la jeune femme qui s'éprend de l'attachement qu'il a pour elle. Se rendant au Mont St Michel avec sa famille, elle propose au jeune compte de la retrouver là bas "par hasard", ce qu'il fit. La bas enfin, la jeune femme se donne à lui et commence une aventure qui se poursuivra à Paris, dans un appartement discret, loué et meublé par les soins de Mariolle.

Cependant le jeune homme au début fou de joie déchante vite. Il apparaît en effet que sa maitresse arrive de plus en plus tard à leurs rendez-vous, voire les annule à la dernière minute ou ne vient pas sans même le prévenir. La sentant lui échapper et souffrant trop, il s'enfuit à la campagne sans prévenir personne...

 

 

Je ne sais pas si j'ai perdu l'habitude de la littérature de cette époque car depuis un moment je lis plutôt des romans du vingtième siècle, mais je trouve les situations et les personnages peu crédibles et l'histoire au final peu intéressante. En fait, je trouve que c'est le pendant urbain et masculin de "Une Vie".

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9 février 2012 4 09 /02 /février /2012 23:40

Pan-Am-007.jpg

Amateur des sixties et de Mad Men, passez votre chemin!

 

Cette série est une catastrophe sur tous les plans. Elle relate les aventures de quatre hôtesses de l'air et deux pilotes de la compagnie Pan Am, en 1963. Étant fan de Mad Men, et appréciant l'ambiance américaine des 60's, j'attendais beaucoup de la série, surtout qu'ayant grandi avec la famille Adams, j'apprécie Christina Ricci. Mais non, l'ambiance des année soixante est totalement ratée, j'ai presque l'impression que la série se passe à notre époque, et le personnage de Christina, qui campe la rebelle de service est totalement ridicule. Ajoutons à tout ça quelques mélodrames clichés et l'une des hôtesses qui espionne pour la CIA, mais dont les missions ne sont jamais ni crédibles ni intéressantes, seule chose appréciable dans la série les références régulières aux évènement mondiaux, au gré des voyages de la "crew".

 

De toute façon, il me semble avoir lu que cette série ne serait pas renouvelée, et je ne suis même pas sûre qu'elle finisse la saison et c'est tant mieux!

 

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1 février 2012 3 01 /02 /février /2012 03:28

itouch.jpg

J'ai pendant longtemps été philosophiquement anti-Apple, jusqu'à ce qu'en 2008, après avoir encore eu des soucis avec mon lecteur mp3, je me retrouve sur un coup de tête à la Fnac à m'acheter un Ipod classique. Je n'ai pas été déçue de mon achat, je l'ai gardé plus de deux ans, sans le moindre soucis, le moindre bug. Ce fût la révélation, malgré mon aversion pour la marque à la pomme, j'ai trouvé que question baladeur, c'était pour moi le meilleur compromis en terme d'ergonomie, de capacité de stockage, de qualité de construction, de qualité sonore ... Certain mélomanes pourrons venter les mérites des Cowon sur le plan de la qualité sonore, mais je pense qu'il y a la dedans une part de snobisme. Il n'y a bien sûr aucune comparaison possbile avec un Hisound Studio V ou un Hifiman  hm-801, mais le premier souffre de bug très pénible et le second n'est pas franchement nomade à mon goût. Je pense qu'en terme de qualité sonore uniquement, l'Ipod Touch IV est au niveau d'un Cowon J3 ou d'un Sansa clip +. Après, ces trois baladeurs ont chacun leurs avantages et invonvénients, mais la façon dont tous les "audiophiles" dénigrent le Ipod m'irrte. Il y en a eu certains de Mauvais, mais les dernières générations ne sont vraiment pas mal. Il est de plus possible d'y adjoindre un petit ampli portable, permettant de passer par la prise dock de l'Ipod et de n'utiliser donc que sa partie DAC qui est très bonne et pas la partie amplificatrice qui est bonne, mais reste le maillon faible de la bête.

 

 

Pour en revenir à mon Ipod Touch IV, je l'ai depuis un an et demi et j'en suis très contente. Il a une bonne autonomie, surtout si on le met en mode avion, l'écran capacitif est réactif, l'interface est fluide, l'ergonomie est comme toujours chez Apple excellente et comme je l'ai dit, le son est tout à fait acceptable. L'appareil photo est en revanche abominable, mais c'est un lecteur mp3. Cela dit, quite à faire un appareil si mauvais, ils feraient bien de la supprimer et de vendre les Ipod moins chers. J'ai personnellement bénéficié d'une réduction m'ayant permis à l'époque d'avoir le mien pour 300 euos au lieu de plus de 400 euros, mais sans cela, je pense que je n'aurais pas investi dans un nouvel Ipod, mon classic marchant toujours parfaitement.

Ipod classic que je regrette beaucoup d'ailleurs, car en fait je n'utilise aucune des nouvelles fonctions du touch, puisque c'est uniquement mon baladeur, et je trouve sa capacité trop réduite pour mes 200 CD encodés en ALAC. Mais j'hésite à en racheter un car il commence à dater, et j'espère un jour prochain un nouveau balaceur de plus grande capacité, même si cela me paraît peu probable étant donné que la course à la plus grosse capacité semble terminée.

 

 

Bref, l'Ipod Touch IV est jusqu'à présent le meilleur Ipod en terme de qualité sonore et il n'a pas à rougir devant le Cowon J3 ou le Sansa Clip +, surtout qu'il les surpasse en ergonomie et en facilité d'utilisation. Avec ses 100 grammes il est un peu plus lourd que les deux autres, et son autonomie de 24h est supérieure à celle du sansa, mais inférieure à celle du Cowon. La seule chose que je pourrais lui reprocher est son prix, on paye "Apple".

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27 janvier 2012 5 27 /01 /janvier /2012 01:58

julie-julia.jpgCe film sorti en 2009 relate en parallèle l'histoire (vraie) de Julia Child qui a démocratisé la cuisine française aux Etats-Unis, et celle (également vraie) de Julie Powell qui s'est faite connaitre en 2002 par son blog, puis par son livre où elle a relaté l'aventure de son blog. Ce n'est pas clair? Je reprends, en 2002, Julie Powell s'ennuyant, elle a créé un blog pour raconter comment elle comptait réaliser les 524 recette de Julia Child en 365 jours. Le blog a eu du succès et elle a narré son aventure dans un livre. Le film est en partie une adaptation du livre. A cela près que dans le film, est entrmêlée avec l'histoire de Julie une autre histoire vraie, celle de Julia Child et de son parcours ayant conduit à la réalisation de son livre.

 

 

Les deux histoires sont je trouve enchevêtrées de façon judicieuse, mais c'est à peu près la seule chose que j'ai apprécié dans le film. J'exagère un peu, ce n'est pas un mauvais film, il a un côté rafraîchissant, mais une fois passé l'amusement de la découverte des personnages, je me suis ennuyée du début à la fin. C'est un de ces films où j'ai vu le temps passer.

 

Etant une française née dans les années 80 et totalement ignorante de la cuisine, j'avoue que j'ignorais jusqu'à peu l'existence même de la fameuse Julia Child. Je ne peux donc pas juger de l'interprètation qu'en fait Meryl Streep et seulement constater que le personnage devient vite fatigant. Encore une fois, c'est une caricature qui parraît peut être fine et juste aux ricains, juste pas pour moi qui ne connaît pas le modèle d'origine. L'histoire de Julie Powell ne m'a pas plus séduite. Je me suis attachée un peu au personnage et à l'actrice, mais il y a quelque chose qui sonne faux dans le scénario, ce qui est dingue pour une histoire vraie.

 

 

Au final, il ne se passe pas grand chose et pour une personne ne coonnaissant pas Juia Child et n'ayant que faire de la cuisine, c'est un film bien ennuyeux.

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25 janvier 2012 3 25 /01 /janvier /2012 00:00

thefratellis-costellomusic2.jpg"Costello Music" (2006) est le premier album des Fratellis, un trio de rock indé de Glasgow formé en 2005. Le nom du groupe provient du nom de famille de criminels du film "The Goonies", et rien que cela je trouve ça chouette car enfant c'était mon film préféré. Quand en plus je vois la pochette de leur album, je me dis que ça semble vvraiment être un groupe pour moi. Et ça l'est!! C'est énergique, j'aime bien la voix du chanteur et je trouve que ça ressemble un peu au premier album de Franz Ferdinand ou au deuxième des Libertines.

 

 

note : la chanson "Chelsea Dagger" est devenu un hymne de stades et est souvent entendue au cours de match de Rugby.

 

 

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